Jeudi 28 novembre 2019
Il y a quelques mois nous avions décidé de participer au Marathon de Valence, histoire de faire une première incursion à l'étranger pour courir sur ce format de course. Et également pour allier visite sportive et culturelle. Mais depuis ce moment-là, une longue blessure qui va me garder éloigner des lignes de départ s'est installée. Alors pendant que Julie fera la course avec un bon groupe de notre club du Pontault AAC, moi je ferai le reporter-photographe. Mais avant tout, il faut nous rendre sur place. Le papa de Julie vient nous récupérer à l'appartement en ce jour du jeudi 28 novembre afin de nous conduire à l'aéroport d'Orly. Notre vol numéro VY8155 de la compagnie Vueling va décoller à l'heure. Dans la salle d'embarquement, je retrouve des copains qui vont également participer au marathon. Nous nous installons aux places 36E et 36F, Julie côté hublot. Le voyage va se passer à merveille. On a le plaisir d'observer le très beau paysage de tout là haut. Vers 15 heures, nous commençons à survoler la ville de Valencia. L'atterrissage est pile poil à l'heure prévue.
Comme nous n'avions pas de valise (nous avions prévu un sac de cabine chacun), pas besoin de passer au tapis roulant de récupération des bagages. Nous filons alors directement en sous-sol pour attraper un métro. Une longue file s'est organisée afin d'acheter les fameux sésames permettant d'y accéder. Nous achetons une sorte de forfait nous permettant de prendre les transports en commun comme bon nous semble jusqu'à samedi. Si besoin, nous achèterons de quoi compléter pour le dernier jour. Pas d'erreur possible car l'aéroport est en début de lignes, donc qu'on prenne le métro 3 ou 5, ils vont tous les deux à A. Guimera où nous devons prendre une autre ligne pour aller vers le nord et descendre à la station Beniferri. En surface nous arrivons sur l'Avinguda de les Corts Valencianes, une très large avenue de deux fois quatre voies mais qui est vraiment bien végétalisée et paraît donc moins massive. Il nous faut trouver le numéro 46 de la rue. Après avoir traversé cette artère, nous découvrons un immeuble d'une quinzaine d'étage en forme de proue de paquebot. C'est dans ce bâtiment que l'Aparthôtel Valencia est installé. Julie se charge de récupérer notre carte d'appartement car je ne maîtrise que le français moi. Nous nous engouffrons ensuite dans un des deux ascenseurs direction le sixième étage. Sur le pallier, il n'y a que cinq logements. Le nôtre, le numéro 602, se trouve sur la gauche et donne côté avenue. Une grande pièce très lumineuse avec une baie vitrée totale regroupe les coins chambre, séjour et cuisine. Une belle salle d'eau se trouve sur la droite. Nous nous approprions les lieux pendant une bonne heure, histoire de nous installer et de nous reposer un peu du voyage.
Blessé oui, mais ça me titille quand même d'aller courir. Alors, et comme Julie doit faire un petit footing avant son marathon, nous nous mettons en tenue pour aller courir en direction des ''Jardines del Turia''. Il est 17h45, la nuit commençant à s'installer, lorsque nous partons courir. Le coucher de soleil avec les nuages donnent un ciel d'une couleur merveilleuse. Nous descendons l'Avinguda de les Corts qui devient ensuite l'Avinguda de Pius XII. Une fois cette longue ligne droite courue sur le trottoir et être passés à côté du tout nouveau Mestalla (la future enceinte du club de football de Valence), nous arrivons à des escaliers qui nous permettent de descendre dans les ''Jardines del Turia''. Il s'agit d'un immense parc urbain de plus de neuf kilomètres construit dans l'ancien lit du Turia. Ce fleuve a été dévié pour éviter les innombrables inondations importantes que la ville a connues. Depuis, c'est devenu un lieu réservé uniquement aux loisirs. On va s'y balader demain pour aller chercher le dossard de Julie. Ce soir, nous n'y restons que pendant trois kilomètres avant de reprendre la longue ligne droite de deux kilomètres en direction de notre appartement. La douleur était bien présente mais ça ne m'a pas empêché de courir. Tant mieux. Mais il n'est pas envisageable de courir 42,195 km dans cet état. C'est triste.
En rentrant, Julie s'est arrêtée devant la vitrine du TGB (The Good Burger) qui est juste à côté de la porte de notre hôtel dans le même bâtiment. Ça parait bien appétissant, alors nous allons vite fait prendre notre douche avant de redescendre et de nous restaurer dans ce TGB. Je commande un menu Blue Mountain et Julie un Cheesburger. On doit aller s'installer à une table avec une sorte de palet qui s'allume lorsqu'on peut venir chercher notre plateau avec notre repas prêt. Lors de l'attente, les clients ne cessent d'entrer et c'est très rapidement plein. On a bien fait d'arriver très tôt. Quand notre palet s'allume, je vais chercher le plateau mais nous sommes un peu déçus car même si les burgers sont très appétissants, nous les trouvons petits. Julie va vérifier s'il n'y a pas eu d'erreur mais non. Nous nous régalons, par contre nous sommes loin d'être rassasiés.
Nous partons marcher un peu sur l'Avinguda de les Corts Valencianes jusqu'à proximité des Jardines des Turia. Demi-tour pour aller nous coucher ? Ou petite pause au Mc Donald's qui se trouve à 50 mètres de nous ? Pas bien, mais un petit complément au Mc Do nous fait du bien. En retournant vers notre lieu de résidence, nous faisons une petite pause au Consum (supermarché) pour acheter de quoi nous faire un petit déjeuner : banane, café, pain, lait, ... Voilà notre première journée Valencienne qui s'achève.
Blessé oui, mais ça me titille quand même d'aller courir. Alors, et comme Julie doit faire un petit footing avant son marathon, nous nous mettons en tenue pour aller courir en direction des ''Jardines del Turia''. Il est 17h45, la nuit commençant à s'installer, lorsque nous partons courir. Le coucher de soleil avec les nuages donnent un ciel d'une couleur merveilleuse. Nous descendons l'Avinguda de les Corts qui devient ensuite l'Avinguda de Pius XII. Une fois cette longue ligne droite courue sur le trottoir et être passés à côté du tout nouveau Mestalla (la future enceinte du club de football de Valence), nous arrivons à des escaliers qui nous permettent de descendre dans les ''Jardines del Turia''. Il s'agit d'un immense parc urbain de plus de neuf kilomètres construit dans l'ancien lit du Turia. Ce fleuve a été dévié pour éviter les innombrables inondations importantes que la ville a connues. Depuis, c'est devenu un lieu réservé uniquement aux loisirs. On va s'y balader demain pour aller chercher le dossard de Julie. Ce soir, nous n'y restons que pendant trois kilomètres avant de reprendre la longue ligne droite de deux kilomètres en direction de notre appartement. La douleur était bien présente mais ça ne m'a pas empêché de courir. Tant mieux. Mais il n'est pas envisageable de courir 42,195 km dans cet état. C'est triste.
En rentrant, Julie s'est arrêtée devant la vitrine du TGB (The Good Burger) qui est juste à côté de la porte de notre hôtel dans le même bâtiment. Ça parait bien appétissant, alors nous allons vite fait prendre notre douche avant de redescendre et de nous restaurer dans ce TGB. Je commande un menu Blue Mountain et Julie un Cheesburger. On doit aller s'installer à une table avec une sorte de palet qui s'allume lorsqu'on peut venir chercher notre plateau avec notre repas prêt. Lors de l'attente, les clients ne cessent d'entrer et c'est très rapidement plein. On a bien fait d'arriver très tôt. Quand notre palet s'allume, je vais chercher le plateau mais nous sommes un peu déçus car même si les burgers sont très appétissants, nous les trouvons petits. Julie va vérifier s'il n'y a pas eu d'erreur mais non. Nous nous régalons, par contre nous sommes loin d'être rassasiés.
Nous partons marcher un peu sur l'Avinguda de les Corts Valencianes jusqu'à proximité des Jardines des Turia. Demi-tour pour aller nous coucher ? Ou petite pause au Mc Donald's qui se trouve à 50 mètres de nous ? Pas bien, mais un petit complément au Mc Do nous fait du bien. En retournant vers notre lieu de résidence, nous faisons une petite pause au Consum (supermarché) pour acheter de quoi nous faire un petit déjeuner : banane, café, pain, lait, ... Voilà notre première journée Valencienne qui s'achève.
